jeudi 7 novembre 2013

6: Le campement Sylphe

           Pendant que Léoline accompagnait l'un des chasseurs, je suis restée avec Orwen, l'homme qui avait guidé les 3 autres cavaliers. Il était grand, immense même. Plus grand qu'un humain. Je lui arrivai à peine sous le bras ! Je le suivis jusqu'à ce qui semblait être des écuries de fortune, on y attacha les chevaux et prirent la direction du camp. Sur le chemin, je vis Léoline qui s'affairait autour d'une immense marmite avec d'autres Sylphes. L'un d'entre eux paraissait encore plus pâle que les autres. Il souffrait, c'était évident. Orwen m'emmena au centre du camp. Là, ils avaient dressé une grande tente, haute comme deux Sylphes. Toutes les autres semblaient ridiculement petites. Devant, ce qui semblait être un puit. En faite, c'était plutôt un trou avec une corde et un sceau.
"_ Qu'est ce que c'est que ça ?
Orwen, presque honteux, marmonna
_ Notre source d'eau. C'est la seul réserve potable des environs. Les autres sont souillées, elles aussi.
Souillées ? Polluées j'imagine. Mais polluée par quoi..
_ Que c'est il passé ?
Orwen s'assit au bord du trou et empoigna la corde pour remonter le sceau.
_ Nous n'en savons rien. Ça a commencé il y a plusieurs mois. Et ça a empiré.
Il remonta le sceau. Il n'y avait presque rien a l’intérieur. Pas de quoi remplir deux tasses et reprit son explication.
_ Nous vivions au coeur de Nalwil, bien à l'abri de la forêt. Un jour, les choses ont commencé à pourrir de l'intérieur. Au début, ça ne touchait que les jeunes pousses. Puis les récoltes. Et enfin l'eau. A tel point que nous n'avions plus le choix. Nous errons sur nos terre à la recherche d'un lieu sain. C'est le seul camp qu'il nous reste. Nous ignorons combien de temps encore il nous sera possible d'y vivre. Les miens tombent malade.
Je l'écoutais attentivement. Depuis notre départ, rien ne c'était passé comme prévu. Les stégobrontius hors de leur territoire, les Sylphes d'ordinaire si paisible qui nous agresse, la forêt qui meurt .. J'avais le pressentiment que quelque chose clochait. Nous avons continué notre conversation pendant presque une heure. Orwen me raconta leur errance lorsque l'arrivée de Léoline et les Sylphes approchèrent, souriante et enjouée.
_ Orwen !! Elle a trouvé un remède !! La petite humaine.
Orwen se leva précipitamment et attrapa Léo par le bras.
_ Montrez moi !
Léoline lui expliqua sa recette pendant que je réfléchissais. Malgré le fait qu'ils nous aient agressé, par erreur bien entendu, j'avais de la peine pour eux. Obligé de fuir, Orwen qui se sent coupable de ne pas réussir à protéger son peuple et leur habitat qui dépérit. Léo avait réussi à les aider, à mon tour de leur venir en aide !

J'ai donc imaginé une machine. 


Saurez vous devinez ce que c'est ? 
Et surtout, à quoi ça sert ?



dimanche 20 octobre 2013

5: La forêt de Nalwil ( 2)

  Un hérisson, un hérisson... Elle m'avait bien entourloupé avec son hérisson Orube !
Au bruit des sabots, j'avais tout de même commencé à emettre quelques doutes... M'enfin, j'étais quand même bien caché derrière elle alors...
Les quatres cavaliers furent rapidement visible.
Prise de peur j'agrippais le bras d'Orube.

- Orube, ils n'ont pas du tout l'air aussi gentils que de simples petits hérissons...
- Ils sont juste plus grands... Et toutes leurs épines sont dans le regard.

Je ne trouvais pas ça drôle. Enfin, dans une autre circonstance, j'aurais trouvé ça très drôle. Mais là non.
Alors que je restais totalement muette face à tout ceci, mon amie prit l'initiative de tenter une approche amicale.
Fatale erreur !
Avant même que l'on puisse essayer de fuir, d'épais filets nous tombaient dessus et nous nous retrouvions prises au piège.
Peut-être avions nous bafouer une loi du camping sans le savoir ? Ou peut-être étions nous sur un espace privé ? Je me disais que tout ceci n'était qu'un mal entendu, que nous serions très rapidement relâché et qu'on nous donnerais des explications.

- Que faites-vous ici ? En voulez-vous à notre peuple ?! Qu'alliez-vous tenter contre nous ? Parlez où nous le découvrirons par nous même. Déclara l'homme qui semblait être le chef.
- Nous ne vous connaissons pas et nous tentons simplement de nous diriger vers Aeolvir. Notre train à dérayé à cause d'un troupeau de Stégobrontius ! Avait répliqué Orube d'un ton bien décidé.


Nous n'avions guère eu d'autre choix que de suivre les Sylphes. On ne savait pas vraiment où on nous emmenaient, il faisait bien noir mais les Sylphes avaient l'air de savoir où ils allaient. Je ne dis pas un mot de tout le trajet, bien trop impressionnée par tout ça.

Orwen, chasseur Sylphe.
Dessin d'Orube. 
Une fois arrivé au campement, tout devint beaucoup plus clair. On pouvait très nettement ressentir la tension et le stresse ambiant.


Croquis du camp des sylphes.


- Nous avons du fuir nos maisons... Et voilà où nous en sommes aujourd'hui...
- Pourquoi êtes-vous parti ? Demanda Orube.
- Des gens tombaient malade et finissait par mourir. L'air, l'eau, les plantes, tout semblait pourrir et devenir toxique...
- Je peux peut-etre vous aidez ? Demandais-je.
 
Après de longues discussions tous ensemble, les Sylphes avaient compris que nous n'étions pas la menace qu'ils recherchaient et ils acceptèrent même qu'on leurs viennent en aide.
Orube s'occupa du campement, tandis que j'allais tenter de préparer quelque chose pour les malades, comme un bon petit thé.



Leoline. 

dimanche 8 septembre 2013

5: La forêt de Nalwil ( 1 ) - Résultat du concours et des jeux !


La carte a été mise à jour, des informations y ont été ajoutée et peuvent être utiles pour la lecture de la suite de nos aventures ! 



Léoline et moi, figées par la peur n'osions bouger d'un cil.
"_ Qu'est ce qu'on fait Orube ?
Bonne question. 
_ Ne bouge pas, si ça se trouve, c'est un hérisson. Un gentil petit hérisson.
Les mouvements dans les buissons s'intensifiaient et se rapprochaient de seconde en seconde.
_ Il fait beaucoup de bruit ton hérisson non ? murmura Léo.
En effet, et, vue le bruit, mon hérisson avait des sabots ! 
_ Je, oui. Sûrement un très très gros hérisson ..
J'allais me lever pour me saisir d'une bûche dans le feu quand un premier jet siffla droit sur nous et se ficha dans la tente, puis encore un autre, et encore un. Bientôt, notre abri de fortune fut percé de part en part.
Avant même d'avoir pu esquisser le moindre geste, quatre immenses silhouettes surgirent et s'abattirent sur nous ..
Les ennuis n'étaient visiblement pas finis.

A suivre ...


Résultats des jeux  ! 

Tout d'abord, félicitations à Eléonore, qui a remporter le mini jeu du parcours et à Seb pour les 7 différences ! 


Résultat du concours !
1: Kerlhau


2: Alexandre !
Nom : Tatoard

Type : Félidé/Reptile (appartenance incertaine)

Régime alimentaire : omnivore (principalement des petits rongeurs ou lézards, des cactus et certains minéraux...)

Rythme de vie : Nocturne

Déplacement : Quadrupède

Description physique : La Tatoard est une créature très spécifique tirant des caractéristiques à la fois des grands félins tels que nous les connaissons (comme le Léopard). Silhouette et taille semblables, pattes munies de griffes rétractiles, excellente vision nocturne, mode de chasse similaire comprenant une technique d'approche silencieuse suivie d'un bond et d'une courte poursuite. Mais également un certain nombre de caractéristique le rapprochant des reptiles et des lézard comme la tortue ou même le crocodile. Sa peau est un mélange entre une épaisse toison, sur le ventre et le torse, et une impressionnante armure d'écailles dures comme de la roche sur son dos. Cette cuirasse naturelle s'étend de la base de son crane jusqu'au bout de sa queue. Ses pattes se trouvent à mi-chemin entre ces deux "peaux". 
Au niveau coloration et teintes, les Tatoards ont généralement une fourrure dans les tons sables gris ou jaunes et leurs écailles dorsales sont grises foncées. Leurs yeux aux pupilles verticales en revanche disposent d'une palette de couleur plus riche que nos propres iris. Vert, bleu, orange, rouge, jaune avec de nombreuses nuances et très souvent des mélanges de couleurs ou des iris dépareillés. 
Mais le trait le plus caractéristique dans le physique des Tatoards est la fine ligne extérieure de leurs plus grosses écailles. En effet celle-ci est de la même couleur que leur iris et reflète la lumière, mais surtout ils peuvent la faire briller grâce à un jeu de petits pores qui sécrète sur commande un liquide phosphorescent. Comme nous le verrons plus tard cette particularités leur est très utile lorsqu'il s'agit de chasser.


Moeurs et mode de vie : La Tatoard est un animal plutôt paisible. Arpentant le désert à la recherche de nourriture, ce n'est curieusement pas un animal avec un grand sens du territoire et très prompt à partager son terrain de chasse. Cela est sans doute dû à sa capacité à se nourrir d'un peu tout ce qui passe dans le désert. Des cactus, aux champignons luminescents en passant par toutes les petites créatures qu'elle peut trouver et les insectes. Ses mets favoris restent tout de même le Lézard Sauteur et la Miralune Rouge (qui seront détaillées plus loin dans cet ouvrage). Le point commun de ces deux créatures est leur attrait pour les champignons luminescents. La stratégie de la Tatoard est presque infaillible. Après avoir repéré une colonie de ces petits bulbes colorés et luisant faiblement dans la nuit, elle s'installe dessus (souvent après en avoir mangé une grande partie.) et s'enterre partiellement pour ne laisser dépasser que ses écailles dorsales et le haut de son crâne. Ses yeux se couvres d'une pellicule épaisse et légèrement transparente qui doit lui permettre de discerner encore les silhouettes sans pour autant craindre l'agression du sable. Elle fait alors briller ses écailles et attend qu'une proie soit attirée par le leurre. La suite est facile à deviner, lorsque le lézard ou le rongeur est à portée la Tatoard jaillit et le saisit dans sa gueule. La victime meurt généralement sur le coup les mâchoires de la Tatoard étant particulièrement puissantes.
La Tatoard est capable de se nourrir aussi de certains minerais affleurant. Souvent ces minerais sont riches en cristaux colorés.
Dernier point, lorsqu'elle se sent menacée, ou lorsqu'elle veut dévaler rapidement une dune ou une hauteur, la Tatoard se roule en boule et oppose alors à son agresseur une sphère presque impénétrable d'écailles faisant d'elle un prédateur redouté et une proie bien coriace.



3: Marie


Contactez nous par mail pour réclamer vos prix :D ! 

Merci à tous les participants pour leurs créations, c'était chouette ! 

Un gros post est en préparation, pour fêter la rentrée, on se retrouve bientôt pour la suite de nos aventures dans la forêt de Nalwil ! 

samedi 3 août 2013

Concours: Mini mais quand même !

Léoline n'étant pas là, je prend son tour ! 


Le concours se terminera le 1er septemenbre.

Bonne chance ! 

mardi 23 juillet 2013

4: A la belle étoile

           Après avoir dîner, Léoline s'est assoupit sur son livre de recette. En ce qui me concerne, je me suis mise à réétudier les cartes qui nous avaient menées jusque là. Je refusais d'admettre qu'elle pouvait être erronées. Et encore moins que j'avais pu me tromper dans leur lecture.
Non, je les connaissaient par coeur ces cartes. Depuis toute petite dans le bureau de papy j'ai passé des heures à les regarder et à observer mon grand père les tracer. Les cartes, c'est mon métier. 
Ou était l'erreur ? Si la carte était juste et que nous l'avons correctement suivie, cela signifie que nous sommes exactement là ou nous devrions être.
Selon la carte du moins. Parce que dans nos esprits, nous aurions du passer la nuit à Aeolvir.
Maintenant, c'est trop tard. J'ai loupé mon rendez vous .. J'avais tellement misé sur cette rencontre. Visiter les archives de la Grande bibliothèque maritime des terres d'Eyrial, c'est un peut le sanctuaire des cartographes. J'avais réussi à obtenir une rencontre avec le responsable des archives. Léoline aurait pu également y apprendre des tas de chose, je suppose qu'il y'a une partie cuisine du monde non ?
Mais a ce moment là, c'était fichu. 
Mais nous devons quand même retrouver la route de la capitale, ne serait ce que pour terminer notre équipement et poursuivre notre voyage. 

Et après tout, nous voulions de l'aventure, au moins là, on est servi. Dans les livres de toute façon les meilleures aventures commencent toujours de travers ! Espèrons que c'est de bonne augure pour la notre. 
La nuit était fraîche mais nous avions choisie de dormir à la belle étoile. Les yeux dans le vague, perdues dans les étoiles je commençais à sombrer dans le sommeil comme Léoline une heure plus tot. 
Quelques minutes plus tard, du bruit dans les buissons à l'orée de la forêt à quelques mètres de la clairière nous réveilla en sursaut.
" _ C'était quoi ça ? me demanda Léoline
Qu'aurais je pu lui répondre ? Je n'en avais pas la moindre idée. J'ai empoigné ma saccoche et compulsé une de mes cartes. Sur la deuxième, j'ai découvert le nom de la forêt près de laquelle nous avions établi notre campement.
Un frisson me parcourut le cou et je pris une profonde résiparation avant de lui répondre. 
_ Ca vient de la forêt de Nalwil." 

Extrait de mon carnet de voyage.


A en juger par l'expression sur le visage de Léo, elle semblait aussi inquiète que moi ..
Et ça n'allait pas en s'arrangeant. 

A suivre: 5: La forêt de Nalwil

dimanche 30 juin 2013

Jeux : 7 différences

Au départ je suivais aveuglément ma coéquipière.... Mais plus les heures et les kilomètres passaient, plus je me demandais si ses cartes étaient justes...
Quoi qu'il soit, la nuit était tombée et nous étions fatiguée. En peu de temps le campement fut monté et nous avons pu nous reposer au près d'un bon feu.

Cependant, entre ces deux images, j'ai repéré sept différences. Les trouveras-tu toi aussi ?




 1 Badge à gagner par tirage au sort parmi  les bonnes réponses =)
Envoyez vos réponses ici : lapilazulicontact@gmail.com  


 Alors pour les précédents jeux, nous n'avons en effet pas encore désigné les vainqueurs.
A partir de la semaine prochaine, Nous allons fermer le blog pour les vacances. Mais ne vous inquiétez pas, vous pouvez continuer de jouer. A la rentrée, nous procèderons aux tirages au sort pour les deux jeux ( le labyrinthe et les sept différences).
Tout les visuels ne sont pas encore terminé, mais en voilà déjà quatre =)


N'hesitez pas à tenter votre chance !
A bientôt !

samedi 22 juin 2013

3: Les kilomètres à pied ça use, ça use !


Après réflexion, nous voilà parties en direction d'Aeolvir sans les navettes. 

   On peut pas dire que la marche à pied soit notre passion commune, mais l'idée de poireauter des heures à attendre des navettes, ça ne nous enchantaient pas vraiment.

  Par chance, c'était la fin de matinée et il nous restait du temps avant la tombée de la nuit. La route entre Escoval et Aeolvir est parsemée de villages et de hameaux, la rendant largement praticable et sûre. On a vite été d'accord sur un point: S'éloigner des rails et les suivre de loin. Même si les stégobrontius sont des herbivores assez lent, l'idée de se retrouver de manière impromptue face à des colosse de 2 mères de haut ne nous enchantaient pas franchement.
Après quelques mètres, j'ai sortie les cartes de grand-père et commencé à étudier le parcours le plus adapté. Le plus simple pour nous étant d'aller direct vers l'Est. Seulement, sur ces cartes, grand-père n'a pas juger utile de mentionner les points cardinaux ... Il m'a toujours dis qu'il était mauvais cartographe, je comprends mieux pourquoi. C'est pour ça qu'il m'a toujours inciter à apprendre le langage des cartes comme il l'appelle. C'est en ça qu'il est fort papy, c'est un aventurier qui avance à l’œil, c'est sont instinct qui le guide !
Quand j'ai raconté cette histoire à Léoline, elle m'a tout de suite conseiller d'en faire autant. Pourquoi pas. Après tout, c'est peut être héréditaire. Et vue le peu de référence et d'indication sur papier, ça ne pourrait pas être pire.
 On a marché ce qui nous sembla être plusieurs kilomètre en suivant le parcours des rails au loin quand soudain, un immense bruissement surgit au loin de la vallée. Une énorme masse dans le ciel filait à vue d’œil ! S'il poursuivait encore un peu plus à son allure, il serait sur nous dans quelques minutes. Il fallait se mettre à l'abri, et vite. Même s'il nous était impossible de définir ce que c'était d'où nous étions, on a juger qu'il était préférable qu'on ne l’apprenne pas une fois qu'il nous sera tomber dessus ! Comme disait papy: "Si tu n'es pas sûre, évite la bavure !"
Quelques mètres plus bas, un rocher surplombait la plaine, surélever par un haut amas de terre. Léoline devant, on s'est mise à courir vers ce qui se rapprochait le plus d'un abri potentiel dans les environs. A peine 30 secondes après avoir atteins notre cachette que l'énorme objet volant non identifié est apparu à notre hauteur.



Extrait de mon carnet de voyage.

   Un dirigeable ! Un énorme dirigeable ! C'était un convoi en provenance d'Aeolvir qui faisait surement route vers le grand nord. C'est par les airs qu'il est le plus sûr de voyager pour se rendre dans le Nord. ça permet d'éviter les rocheuses et les montagnes qui ne sont pas des plus agréable à traverser. On raconte qu'il y fait toujours jour car la neige y tombe sans cesse et d'une telle intensité que le ciel est toujours blanc. Personnellement, je n'y crois pas vraiment. Il faut dire qu'a Escoval, il y'a très peu de gens qui en ont dépassé les remparts, a part mon papy. Mais il n'est pas très clair au sujet de son voyage dans le Nord. Et il est parfois difficile de faire la différence entre le vrai et le récit dans ces histoires...
Il n'y avait donc pas de vrai danger cette fois ci, nous avons repris notre route. Notre randonnée imprévue s'est révélée plus longue que prévue si bien que la nuit est tombée avant même que nous apercevions des signes de vies. Ce qui ne manqua pas de me perturbée .. Normalement, nous aurions du arriver et croiser quelques maisons. Au moins une première gare. Mais rien. Ils nous faillaient trouver un endroit pour dormir. On s'est alors enfoncé un peu plus dans la vallée, pour trouver un endroit à l'abri du vent. Il y'a des nuits où le vent souffle plus fort qu'ailleurs aux alentours d'Aeolvir. C'est bien pour ça qu'on l'appelle la ville des Vents. Nous sommes parvenues dans une petite clairière dans une cuvette entourée de petites collines pour monter notre campement.

J'avais la nuit pour réfléchir à notre situation et à mes doutes quand à notre direction ..


Et si j'avais fais une erreur en lisant la carte ? 
Peut être aurions nous mieux fait d'attendre les navettes. J’espère arriver à temps demain soir à Aeolvir !